Linguistique amazighe

Colloques et journées d'étude

Annonces des Colloques, séminaires,  journées d'étude de l'année en cours.



La Problématique des genres littéraires amazighes : Définitions, dénomination et classification

Tasdawit n Tubiret                                                       Université de Bouira

Agezdu n tutlayt d yedles n tmazight                            Département de langue et culture amazighes

 

APPEL A CONTRIBUTION
3ème Colloque international
Dans un esprit similaire à celui qui a présidé au colloque international « La langue
amazighe, de la tradition orale au champ de la production écrite, (parcours et défis) »,
tenu à Bouira en avril 2013, le Département de Langue et Culture Amazighe (DLCA)
souhaite élargir et approfondir la réflexion sur « La Problématique des genres littéraires
amazighes : Définitions, dénomination et classification » dans le cadre du 3ème colloque  international, qui aura lieu à la Faculté des lettres et des langues, université de Bouira, les 04
et 05 novembre 2014.

• Argumentaire :
L’oralité, une des spécificités de la littérature amazighe, est un paramètre déterminant
dans la « typologisation » de cette dernière. C’est, d’autant plus, un facteur prépondérant qui
permet de mieux comprendre et de cerner la notion du «genre» littéraire amazighe.


Les recherches qui se sont penchées sur l’étude des « genres » littéraires amazighes
sont rares et souvent partielles et ne traitent pas tous les «genres », comme elles ne s’étendent
pas à toutes les variétés amazighes. Par conséquent, il est très important de mener plus de
recherches et d’enquêtes de terrain. A ce problème s’ajoute les ambiguïtés de la nomenclature
adoptée et qui ne peut satisfaire les caractéristiques de chaque « genre ».


La définition d’un « genre » littéraire donné doit tenir compte de plusieurs variables
endogènes et exogènes : il s’agit du rythme, de la mélodie, de la longueur, des personnages,
des facteurs spatio-temporels et des procédés d’exécution. Enfin le recours à la définition que
proposent les aèdes est incontournable pour une classification plus originelle et authentique.
Si la littérature amazighe partage avec celles des autres communautés certains points
communs l’inscrivant dans l’universalité, elle a aussi ses spécificités singulières qui la
distinguent et qui marquent son originalité.


Afin de mieux cerner cette problématique des « genres » en tamazight, il faudrait,
probablement, avoir à l’œil un fait qui nous semble fondamental : la culture amazighe est
essentiellement orale et sa transmission s’est faite par ce canal durant des millénaires. Par
conséquent, Il ne s’agit pas, ici, d’intégrer les genres littéraires amazighes dans des moules
préétablis, mais plutôt de procéder à des comparaisons qui permettront de dégager leurs
spécificités et les éléments de convergence avec les genres d’autres littératures. Cependant, il
faut prendre en considération la variation dialectale et régionale car les dénominations
autochtones sont nombreuses et diversifiées selon les genres mais aussi les régions.

 

C’est à ce genre de rencontres scientifiques de déterminer le système littéraire amazigh
et ses genres. Quoi qu’il en soit, il n’existe aucune description systématique des genres
littéraires dans une variété linguistique donnée. Il semble plus judicieux d’ancrer cette
description dans chacune des aires dialectales amazighophones avant d’entreprendre une
quelconque généralisation à tout le domaine amazigh.
Cette suggestion nous incite à réfléchir à une éventuelle classification ou
(re)classification des genres littéraires existants dans le domaine amazigh ou bien une
redéfinition totale ou partielle de la nomenclature générique de la (les) littérature(s)
berbère(s).
Toutefois, le rôle de la critique et de la recherche universitaire dans le domaine
amazigh est primordial dans la définition et la classification des genres narratifs et poétiques
amazighes.
Chers collègues, à travers ces constats et à la lumière de ces données nous appelons à
des communications qui porteront sur les axes ci-dessous.

 

• Axes du colloque
Les contributions peuvent se pencher sur un ou plusieurs des champs suivants :
 Les genres littéraires et le statut de l’oralité dans la société amazighe.
 Bilan analytique et critique de la recherche sur la problématique des genres littéraires
amazighes.
 La diversification des dénominations génériques des genres littéraires amazighes.
 Les éléments déterminant les systèmes de classification des genres littéraires.
 Les définitions des genres littéraires amazighes par apport aux typologies dans
d’autres littératures universelles.


• Modalités de soumission :
 La date limite pour la réception des propositions est fixée au 25/09/2014.
 La date de confirmation des communications retenues est établie au 05/10/2014 .
 Le déroulement des travaux du colloque : 04 - 05 Novembre 2014
 Dernier délai pour le dépôt des communications pour publication :  31 janvier 2015 :
 Chaque proposition sera anonymement évaluée par les membres du comité
scientifique
 La langue de communication : Tamazight, Français, Arabe.
 Les communications ne devront pas dépasser 20 minutes et seront suivies de
discussions.

• Contacts
Les propositions sont à envoyer à cette adresse:


 dlcacolloque2014@yahoo.fr


Fax : 026 93 52 30


Téléphone : 026 93 52 30 / 05 51 62 59 48

Président du colloque
Prof. Med DJELLAOUI


24/07/2014
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COLLOQUE « LE TIFINAGH, UNE NORME GRAPHIQUE A VALORISER » Djanet les 18 et 19 octobre 2014

 

COLLOQUE

« LE TIFINAGH, UNE NORME GRAPHIQUE A VALORISER »

Djanet  les 18 et 19 octobre 2014

 

 

 

Coordonnateur scientifique du colloque : Docteur  DIDA BADI

Maître de Recherche, CNRPAH, Alger ;

 

Comité d’organisation : Haut Commissariat à l’Amazighité.

 

Appel à Participation

 

Argumentaire :

Partant du postulat que dans la longue histoire de l’humanité, l’écriture est une invention récente, elle ne peut donc être qu’une représentation visuelle du langage qui est  utilisé et d’une manière articulée par l’homme, depuis au moins cent mille ans.  Cette représentation est matérialisée  par un système de signes graphiques conventionnellement adoptés par une communauté de personnes. Les supports utilisés sont divers : pierres, papyrus, terre cuite papier et autres moyens plus récents sous l’ère des nouvelles technologies.

Les plus anciennes écritures  sont datées d’environ cinq mille ans. Elles sont nées quand les sociétés en plein essor de développement et d’accroissement ont ressenti  ce besoin nouveau pour conserver les traces  de leurs échanges, de leurs transactions et de leurs contacts avec les autres communautés (marque comptable, propriété, identification, croyance, orientation…) ; et c’est en Mésopotamie et en Egypte, vers le milieu du IVe millénaire avant J-C, que ces premières écritures (Cunéiforme et l’Hiéroglyphe) en pictogrammes -qui ont une fonction de « signe-image »- ont vu le jour. 

Depuis les systèmes de fixations et d’écriture commencent à se propager et à évoluer. On distingue en gros trois grandes familles systémiques : Les systèmes idéographiques, les systèmes syllabiques et les systèmes alphabétiques. 

Plus prés des temps des premiers systèmes d’écriture, nous pouvons citer l’alphabet phénicien, l’alphabet grec nés vers 1300 et 1200 AVJC et l’alphabet libyque (Tifinagh) qui vient juste après (fin du deuxième et début du premier millénaire) si ce n’est à la même période. La datation des premières inscriptions libyques ou tifinagh ne cesse de reculer dans le temps avec les avancées de la recherche archéologique et anthropologique (M.HACHID 2000, 2007…).

Ce système d’écriture amazigh dit libyque ou tifinagh reste à ce jour énigmatique. Ses origines attribuées à tors ou à raison à une genèse locale ou à l’alphabet phénicien, même si cette position classique  semble totalement dépassée et écartée (voir article S. CHAKER et S. HACHI, 2000, à propos de l’origine et de l’âge de l’écriture libyco-berbère).  Son évolution, de l’art rupestre à la schématisation et la stylisation (K. OUAZAR MERZOUK, actes colloque HCA 2007)  est aussi une hypothèse défendable à ce jour.  Son orientation (CHABOT, RIL, 1940), ses utilisations son ère géographique, son extension et sa résistance dans le temps sont autant de problématiques qui méritent encore d’être posées.

Depuis la naissance des premières écritures à nos jours, l’évolution des systèmes graphiques a accompagné les différentes évolutions scientifiques, technologiques, et littéraires de la société selon ses besoins. Le choix des signes graphiques obéit en général à des objectifs et des finalités de la vie quotidienne tout en impliquant et en guidant le passage de l’oral à l’écrit.  

Abstraction faite  de toutes ces hypothèses et de ces questionnements, l’évidence est que ce système d’écriture est le système originel de la première forme d’écriture de la langue amazighe. Il est donc un patrimoine précieux à sauvegarder, à préserver à promouvoir nonobstant la place qu’on peut lui réserver dans l’emploi, la fonction et l’utilisation actuelle pour la promotion de la langue et la culture amazighes d’aujourd’hui en Algérie.

 A ce propos et au terme  du colloque international qui a été organisé par le Haut commissariat à l’Amazighité sur : « Le libyco berbère ou le tifinagh ; de l’authenticité à l’usage pratique » organisé les 21 et 22 mars 2007, un ensemble de recommandations à été dégagées (voir les actes du Colloques HCA 2007). Entre autres recommandations la constitution d’un groupe de réflexion composé de  spécialistes algériens et étrangers , issus des disciplines impliquées par le choix d’une graphie, et pour un large consensus, y adjoindre les enseignants de tamazight, les animateurs du mouvement associatif…   

Il est donc évident que cette rencontre répond à cette recommandation que nous voulons organiser en forme de symposium en donnant aux chercheurs, aux linguistes aux anthropologues et aux praticiens, utilisateurs et acteurs de cette langue la tribune et l’opportunité de débattre et de réfléchir à la place que doit occuper le Tifinagh à l’état actuel des choses , à  son aménagement pour une éventuelle utilisation future et tant d’autres questionnements qui pourraient surgir lors des interventions et des débats pendant ces deux  journées.

 

 S Tmaziɣt :

 

TIMLILIT TAƔELNAWT

“Tifinaɣ, d iskilen yuklalen azal”

Ǧanet (Illizi) 18 d 19 Tuber 2014

 

Afakul n temlilit

 

 

 

Tira, d asnulfu amaynut deg umezruy n talsa, ad ibeggnen ɣef tiktiwin d wayen yettmeslay wumdan s yiles s izamulen iɣef d-yella umatawa i useqdece-nsen. Mxallfen ttawilat iɣef d-tella tira ama ɣef uẓru , lkaɣeḍ, talaɣt naɣ ttawilat atraren.

Tira timezwura llant-d ugar n 5000 iseggasen aya, imi akken timettiwin uḥawǧent ad jerdent ayen iɣef d-yella umsefham gar-asen akken daɣen ad yili uḍris yuran d anagi ɣef wayen ara d-ǧǧen ama  s wayen umnen, assaɣen uzenzi ; aḥraz n tferkiwin…atg.  Tira ihi tlul-d  s ijerriden d-yellan di la mésopotamie akked Maṣer azal n 3500  Uqbel talalit n Sidna Ɛisa.

Seg tallit-nni yennerna useqdec n izamulen d ijerriden gar yemdanen yuɣal d ttawil n umbaddal d taywalt ger tegduden. Seg izamulen d ijerriden tlul-d tira s yeskilen, ad nebder iskilen ifiniqiyen, , iskilen igrigiyen ( 1300 ar 1200 QTSƐ) akked iskilen ilibiyen ( tifinaɣ) i deg lǧerrat timezwura d tid lqayen deg umezruy.

Isteqsiyen ɣef uẓar n iskilen  n tfinaɣ d umezruy-nsen mazal ara ass-a werǧin ufan-d tiririt ɣer imnadiyen, xas ulama llan-wid iten icudden ɣer yeskilen ifiniqiyen ( aḍris n.S. Chaker d S. Hachi 2000) naɣ wid yeqqaren d akken tifinaɣ d anerni n tfelwin ɣef uzṛu yuɣalen d iskilen ( Ouzar merzouk deg adlis n temlilit n SNM/HCA 2007). Mazal ara ass-a isteqesiyen ɣef uwelleh n iskilen n tfinaɣ, aseqdec-nsen, annar n tlalit-nsen d ibeddi-nsen deg akud (zzman) ur sɛin tiririyin.

Xas ma yella anadi d win ur nekfi ara ɣef iskilen n tfinaɣ, wigi ad qimen d azamul n tira tanaṣlit n imaziɣen , d tamagit ilaq ad nseḥbiber fell-as  u ad tt-nsenerni, akken yebɣu yili useqdec ines deg usnerni n tutlayt d yedles amaziɣ tura di Lezzayer.

Gar iwellihen n temlilit ɣef iskilen n tfinaɣ d useqden-nsen di tira, id-ihegga Usqamu Unnig n Timmuzɣa, ussan 21d 22 Maɣres 2007, asbeddi n yiwen ugraw n imandiyen izzayriyen akked ibeṛṛaniyen i xedmen tizrawin ɣef tmaziɣt i wakken ad yili umtawa ɣef iskilen is d-yewwi ad tettwaru yessen tmaziɣt ass-a, s utteki n iselmaden n tmaziɣt d iɛeggalen n tdukliwin tidelsanin.

Ihi timlilit d-ihegga Usqamu Unnig n Timmuzɣa aseggas-a d tagnitt i wid iqedcen ɣef tmaziɣt, ama d isnalsiyen, d imawlan n tsekla, iselmaden i wakken ad sqerdcen timsal icudden ɣer useqdec n tifinaɣ ass-a di tutlayt tamaziɣt akked d isteqsiyen nniḍen urɛad sɛin tiririt.

 

 

 

Dernier délai d’envoi de la proposition de communication : le  22 septembre 2014

…………………………………………………………………………………

Chaque proposition de communication doit être accompagnée d’un court CV du principal intervenant. L’auteur mettra en évidence son expérience et/ou ses travaux dans le domaine.

.

Titre de la communication :

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Fiche Résumé : NB/ Le résumé  ne doit pas dépasser vingt (20) lignes.

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

 A envoyer à :

Didabadi1@yahoo.fr

Cc :

  sg@hca-dz.org /patrimoine@hca-dz.org /action.culturelle@hca-dz

 

 

 

 

 

 

Haut Commissariat à l’Amazighité : 19, Avenue Mustapha El-Ouali ( ex. Debussy), Alger.

Boite postale : 400, El-Mouradia- Tél. (standard) : 021 64 29 10/11 Tél./Fax: 021 63 59 11

Site Web : www.hca-dz.org

 


20/07/2014
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17/06/2013
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22/05/2013
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La langue amazighe, de la tradition orale au champs de la production écrite, (parcours et défis)

Université Mohand Oulhadj, Bouira.

Département de langue et culture amazighes

Agezdu  n tutlayt  d yedles  n tmaziɣt

 

Appel à contribution

2eme Colloque international

 

En Avril 2012 s’est tenu à l’université de Bouira un colloque international   sous le thème :  « L’enseignement de la langue amazighe dans les universités algériennes et étrangères (Parcours, bilan et perspectives) » Dans un esprit voisin, nous souhaitons renouveler et rassembler à nouveau des spécialistes, enseignants et écrivains  autour du  thème : « La langue amazighe, de la tradition orale au champs de  la production écrite, (parcours et défis)  », dans le cadre d'un colloque international, qui aura lieu à l’université Akli Mohend OULHADJ  de Bouira, les 17 et 18 Avril 2013. Cette rencontre scientifique est organisée et accueillie par le Département de Langue et Culture Amazighes, Faculté des Lettres et des langues, de  l'Université de Bouira.

 

Argumentaire :

 

L’oralité est une composante fondamentale de la culture amazighe ; un symbole d’identité par excellence. L’oralité peut aussi se définir, si on se place dans le champ des productions littéraires orales, comme l’ensemble des genres littéraires tels que les poèmes, les chants, les contes, les proverbes, les devinettes, etc.

L’aspect oral de la langue et de la culture amazighe est l’un des facteurs de sa résistance de son dynamisme qui lui ont permis  de survivre et ce grâce à la transmission orale de génération en génération, ainsi la littérature orale amazighe est une littérature forte,  variée, et très vivante.

Il faut cependant signaler le  statut équivoque de l’oralité. Elle est à la fois estimée et mise en question ; perçue tantôt comme symbole d’identité et tantôt comme une marque de sous-développement : une portée limitée dans l’espace, une lente propagation dans le temps et des écarts par rapport à la forme d’origine. L’écrit par contre, résiste et garde intacte la première forme. L’écriture fait intervenir des changements  dans les modes de communication. Elle permet de réorganiser l’ordre des choses, de définir leur sens, d’expliciter de façon plus rigoureuse. L’écriture note, compare et révèle des régularités. L’écriture est l’instrument de la pensée, donc de la créativité.

Depuis la fin du 19e siècle, un grand nombre de productions littéraires berbères sont transcrites en graphie latine, principalement en français. Des autochtones tels que M. Said Boulifa, Ben Sdira, Belaid At Ali, Feraoun  et bien d’autres ont énormément contribué à cette opération de transcription et de sauvegarde de la langue amazighe.  Cette dynamique se poursuit de nôs jours  et si le souci de nôs précurseurs reste d’actualité, il n’en demeure pas moins que la création écrite a gagné de larges franges de la société. Ainsi la démocratisation de l’école, l’introduction de tamazight dans les différents paliers de l’enseignement et l’accession  d’un nombre de plus en plus grand de personnes à l’écriture  et à la lecture ont popularisé et renforcé le rôle de l’écriture dans notre société sans oublier les médias et la presse qui accomplissent  aussi d’importantes taches éducatives et culturelles.

Aujourd’hui, les productions écrites touchent presque tous les domaines de la vie ; des romans, des recueils de poèmes, mais aussi des ouvrages de spécialité - didactiques en particuliers visant l’accompagnement de l’introduction de tamazight dans le système national de l’éduction et de la communication - foisonnent et marquent un tournant décisif dans le mode de communication en société amazighe ; je dirais, en l’espère,  la renaissance de la langue.

Chers collègues, à travers ces constats et a la lumière de ces données nous appelons à des communications qui porteront sur les axes ci-dessous.

 

 

Axes du colloque

 

Les contributions peuvent se pencher sur un ou plusieurs des champs suivants :

  • Statut de l’oralité dans la société amazighe
  • L’impacte de la tradition orale sur les pratiques pédagogiques, didactiques et communicationnelles
  • Productions écrites en tamazight, bilan et perspectives
  • Naissance de nouveaux genres littéraires amazighs 
  • Aspects saillants de la nouvelle poésie amazighe.
  • la traduction de et vers tamazight 
  • Le lexique amazigh dans la littérature : De l’emprunt à la néologie
  • Problème de la morpho-syntaxe entre l’oral et l’écrit
  • Le passage de l’oralité a l’écriture : problème d’orthographe en suspend.

 

Date limite de dépôt

 

  • Date limite de dépôt du résumé : 20  mars 2013.
  • Notification d'acceptation de la proposition : 30 mars 2013.
  • 17- 18 avril : coup d’envoi des travaux du colloque.
  • 30 Septembre 2013 : dernier délai pour le dépôt des communications pour publication.

Contacts

 

 

 

                                                                Le comité d’organisation

                                                                                DLCA de Bouira

 

 

 

 

Président d’honneur du colloque :

Professeur. BADDARI Kamel, Recteur de l’université de Bouira

 

Président du colloque :

Dr. Djellaoui  Mohamed

 

Comité chargé de l’organisation :

-         Berdous Nadia                                  Medjadi Djedjiga

-         Fourali Yasmina                               Laoufi Amar       

-         Rabdi Kania                                      Chbieb Nabil

-         Boudraa Habiba                                Idrici Nabila

-         Idir Masinissa                                   Habbi Dahbia

-         Lounissi Salim                                  Flici Kahina

-         Kacimi Zidine                                   Mouzarine Ghania

 

Comité scientifique :

-         Professeur Nacib Youcef, université d’Alger.

-         Professeur Bourayou Abdelhamid, université d’Alger.

-         Professeur  Amarouche Mhand , univertsité de Bouira.

-         Professeur Tigziri Noura, université de Tizi-Ouzou.

-         Professeur Hadadou Mohand Akli, université de Tizi-Ouzou.

-         Professeur Nait-Zerrad Kamal, Inalco, Paris.

-          Professeur  Dimeglio Alain, IUFM de l’Université de Corse, France.

-          Professeur Bouamara Kamel, université de Béjaia.

-         Dr. Ameziane Amar, Inalco, Paris, France.

-         Dr. Jarmouni Hachem, Université de Fès, Maroc.

-         Dr. Saaa Fouad, Université de Fès, Maroc.

-         Dr. Ben-Abbas Mostafa, Université Med Premier Oujda, Maroc.

-         Dr. Guedjiba Abdenacer, Université Abbes LAGHROUR Khenchela.

-         Dr. Nabti Amer, université de Tizi-Ouzou.

-         Dr. Djellaoui Mohamed, université  de Bouira.

-         Dr Salhi Mohand Akli, université de Tizi-Ouzou.

-         Dr. Imarazene Moussa, université de Tizi-Ouzou.

-         Dr. Meksem Zahir, université de Béjaia.

-         Dr. Mehrazi Mohand, université de Béjaia.

 

Programme du colloque : [Ndlr. reçu le 01 avril 2013]

 

Programme du 2ème colloque international

Au DLCA de BOUIRA

Les 17 et 18 Avril 2013

Mardi:  16/04/2013 

 Réception des conférenciers             

 

Mercredi : 17 /04/2013

08h30 – 09h00 : Inscription des participants   

09h:00 : Ouverture officielle de la rencontre scientifique

10h00 : Collation

                     

série de conférences

Premier Jour : Mercredi  17/04/2013

Première Séance :

« Oralité et passage à l’écriture »

 

Président de la séance: Professeur Mustapha El Adak

 

10h30  ð 10h50 : 1ère conférence : Dr. El Khatir ABOULKACEM-Afulay

     Titre : « La culture amazighe est-elle nécessairement une culture orale ?».

IRCAM, Rabat - Maroc

10h50 ð 11h10 : 2ème conférence : Dr. Mostafa BEN-ABBAS

    Titre : « oralité et tradition orale »

Université Mohamed I, Nador – Maroc

11h10  ð 11h30 : 3ème conférence : Professeur Kamal BOUAMARA

     Titre : «De l’oralité à la codification graphique du tamazight-taqbaylit :

                                    quels passages à l’écrit ? »

 Universiré A. MIRA de Béjaîa – Algérie

11h30  ð 11h50 : 4ème conférence : Dr. El  Hossaien FARHAD

     Titre : « Le passage de l’orale à l’écrit « standardise » dans le conte

                                « adfel azeggagh » de F. Azerwal.

Université Mohamed(I) Oujda, Maroc

11h50  ð 12h10 : 5ème conférence : كريمة أيت إحدادن

 "دور الرواية وأثرها في تدوين شعر أحمد لمسيح بمنطقة آث واسيف"

 Université Akli Mohand Oulhadj – Bouira

 

Débat : 12h10 ð 12h50

     12h50 ð 13h50 : Pause déjeuné

Deuxième Séance

« Nouveaux genres et caractérisation

des corpus écrits »

 

Président de la séance :  Professeur Nora TIGZIRI

 

14h00 ð 14h20 : 1ère conférence : Professeur Hassan BANHAKEIA

    Titre  : « Enjeux et jeux de la répétition dans le roman Rifain »

Université Mohamed Premier (Oujda)

14h20 ð  14h40 :  2ème conférence: Dr. Said CHEMAKH

     Titre   : « La néo-littérature kabyle : cas de la nouvelle et du roman.

Université M. Mammeri de Tizi-Ouzou

14h40 ð 15h00 : 3ème conférence : Dr. Mohand Akli SALHI

      Titre  : «Un nouveau genre littéraire : la littérature écrite pour enfants».

Université Mouloud MAMMERI. Tizi-Ouzou

Débat : 15h00 ð 15h20

Pause café : 15h20-15h30

 

Président de la séance :  Professeur NAIT-ZERRAD KAMAL

 

15h30 ð 15h40 : 4ème conférence : Dr. Mohamed DJELLAOUI

     Titre   : «Les aspects du renouvellement dans le champs poétique

                   amazigh contemporain : le cas de la poésie kabyle »

Université Akli Mohand Oulhadj – Bouira

15h40 ð 16h00 : 5ème conférence : Dr. Fouad SAA

     Titre   : « Propriétés métriques de la poésie amazighe de Figuig ».

Université Sidi Mohamed Ben Abdellah, Saïs-Fès – Maroc

16h00 ð 16h20 : 5ème conférence : Professeur. Mustapha El Adak

    Titre  : «Oralité et resymbolisation des symboles dans la poésie moderne rifaine : cas de bu-ydunan »

Université Mohamed 1er, Oujda+Maroc

Débat : 16h20 ð 17h00

 


Deuxième Jour : Jeudi 18/04/2013

Troisième Séance

« Problèmes de traduction de et vers tamazight »

 

Président de la séance : Professeur Kamal BOUAMARA

 

9h00 ð 9h20 : 1ère conférence : Professeur Abdehafid Kaddouri

      Titre : « Oralité, écriture et traduction en amazigh»

Université Mohammed 1er Oujda, Maroc

9h20 ð 9h40 : 2ème conférence : Professeur NAIT-ZERRAD KAMAL

      Titre : « Quelques problèmes de traduction en kabyle »

INALCO, 2, rue de Lille, 75007 Paris

9h40 ð 10h00 : 3ème conférence : الدكتور خالد عيقون

                   الترجمة الأمازيغية بين التأسيس والتأصيل ماضيا وراهنا: ترجمة الحكاية الأمازيغية نموذجا".

Université Mouloud MAMMERI. Tizi-Ouzou

10h00 ð 10h20 : 4ème conférence : الأستاذ بلولي فرحات

      Titre :     «                   " ترجمة النص المكتوب من اللغة الأمازيغيّة إلى اللغة العربيّة

Université Akli Mohand Oulhadj – Bouira

 

Débat : 10h20 ð 11h00

Pause café : 11h00 – 11h10

 

Quatrième Séance

« Langue et pratiques pédagogiques »

 

Président de la séance :  Professeur Hassan BANHAKEIA

 

11h10 ð 11h20 : 5ème conférence :  Professeur Noura Tigziri

      Titre : « Elaboration d’un Tamazight fondamental pour l’enseignement

                    Expériences et méthodes »

Université Mouloud Mammeri, Tizi-Ouzou

11h20 ð 11h40 : 6ème conférence : Dr. Amar NABTI

      Titre :  « De la production écrite à ….la production écrite »

Université Mouloud Mammeri, Tizi Ouzou

11h40 ð 12h00 : 7ème conférence : Kania RABDI

      Titre :  « Aseqdec n tsalelt timawit deg wahilen n uselmed n tmaziɣt »

Université Akli Mohand Oulhadj – Bouira

11h00 ð 12h20 : 8ème conférence : Dr. Abdenacer GUEDJIBA

     Titre   : «La lecture et l’écriture deux modes de communication interdépendants dans le développement des compétences scolaires”.

Université Abbes LAGHROUR Khenchela

 

Débat : 12h20 ð 12h50

12h50 ð 13h50 : Pause déjeuné

 

 

Cinquième Séance

« Questions de ponctuation et de l’écriture

en tamazight »

 

Président de la séance :  Dr. Fouad SAA

 

14h00 ð 14h20 : 1ère conférence :  Dr. Moussa IMARAZENE

    Titre  : « L’oral et l’écrit : écarts et influences mutuelles »

Université Mouloud MAMMERI, Tizi-Ouzou

14h20 ð  14h40 :  2ème conférence: Dr. Mohand MAHRAZI

     Titre   : « Le passage de l’oralité à l’écriture de l’amazighe : problème de la punctuation »

Universiré A. MIRA de Béjaîa

14h40 ð 15h00 : 3ème conférence : Ramdane Boukherrouf

      Titre  : «   La prise en charge de la ponctuation dans la transcription des textes oraux en kabyle : Cas du conte  «Sin igujilen d’akniwen»  d’Auguste MAULIERAS

Université Mouloud MAMMERI, Tizi-Ouzou

DLCA, UMMTO

15h00 ð 15h20 : 4ème conférence : Lydia GUERCHOUH

      Titre  : « Asigez di tira n tmaziɣt : uguren d yisumar »

Université Mouloud MAMMERI, Tizi-Ouzou

15h20 ð 16h00 : 5ème conférence : Dr. Mustapha TIJET

Titre   : « Nom propre : parent pauvre des études amazighes ? »

Universiré A. MIRA de Béjaîa

 

Débat : 16h00 ð 16h30

 

Clôture du colloque

 

 


14/04/2013
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